Marie-Hélène Branciard en dédicace le vendredi 16 décembre à Cultura Villefranche-sur-Saône
Vendredi 16 décembre de 17 h 30 à 19 h, Marie-Hélène Branciard dédicacera son polar #Jenaipasportéplainte à CULTURA :
1820 route de Frans
ZC la lagune
69400 VILLEFRANCHE SUR SAÔNE
cultura.com
#JENAIPASPORTÉPLAINTE
Après une manif pro « Mariage Pour Tous », Solün, photographe de presse, découvre le corps inanimé d’une jeune femme. À l’hôpital où elle l’accompagne, elle fait connaissance avec ses potes – une bande d’artistes un poil allumés – et se lance avec eux à la poursuite des agresseurs.
Les oiseaux noirs de Twitter et l’ombre de quelques monstres planent sur ce récit tandis qu’une mystérieuse DJ nous parle de vengeance et de création.
AVEC CE POLAR DÉJANTÉ,
« Marie-Hélène Branciard dresse les portraits de personnages foisonnants, drôles et attachants, lesbiennes en résistance quotidienne pour le respect de leur humanité, hackers malines, tous en orbite autour de l’enquête menée par une commandante de police qui essaiera malgré les difficultés de remettre les coupables aux mains de la justice. »
Préface de Marie Van Moere
#Jenaipasportéplainte – Marie-Hélène Branciard – Préface de Marie Van Moere – 17,50 € (Livraison gratuite) – Septembre 2016 – Éditions du Poutan.
Page Facebook #Jenaipasportéplainte
Fil twitter de l’auteure @mhb_numerik
Site : jenaipasporteplainte.net
• On a aimé la vivacité et le naturel des dialogues, on s’y croirait. Marie-Hélène Branciard a un vrai talent pour saisir les personnages sur le vif et leur donner du relief. Le monde LGBT qu’elle peint avec optimisme et conviction est vaillant, bien accroché à son époque et follement séduisant : l’amour, le désir et l’amitié y règnent sans partage.
Quatre Sans Quatre Webzine
• Avec ce livre qui intègre les écritures numériques on va à toute vitesse. SMS, tweets, posts, bloups Facebook : Marie-Hélène Branciard traduit les échanges entre personnages dans une écriture originale, ou plutôt dans un essaim d’écritures.
Blog PensezBibi
• Peut-on aborder un sujet grave et universel, le viol, à travers un polar qui rappelle Superstars d’Ann Scott sans paraître superficielle ? Peut-on écrire une histoire dans laquelle on a envie de s’impliquer en tant que lecteur sans se sentir en porte à faux ? Réponse ? Oui. Mille fois oui grâce à ce polar urbain tout en finesse et réalisme.
Bookalicious
• Avec #Jenaipasportéplainte on abandonne l’état de victime dans lequel la société confine les violé(e)s afin de préserver la surface lisse de son visage lâche et on s’arme pour se régénérer. Les livres sont tissés de ces vengeances fantasmées qui aident ceux qui les écrivent à vivre le mieux possible le carcan social. Si on ne pouvait pas écraser les méchants par les livres, à quoi bon lire du polar et pourquoi en écrire ? ».
L’Œil et Le Gun
• Quelle claque ! Ce roman m’a soufflée ! j’ai eu l’impression d’avoir toutes les clés en mains, et pourtant le suspens reste entier jusque dans les dernières pages. La fin est surprenante.. pour ne pas dire remuante. Il n’y en avait pas de meilleure, et pourtant il faut du temps pour l’assimiler. Admettre les failles d’un système pour la naïve que je suis, c’est presque brutal.
Bibliothécaire Hors Les Murs
• Une écriture en prise avec la réalité de notre société, sans tricherie, sans facilité…
La Belle page
• Vous ne lâcherez pas ce polar urbain, avec des bouts de campagne de Bourgogne dedans ! Truffé de références sériephiles et musicales contemporaines, avec des personnages utilisant les réseaux sociaux, leur puissance d’action et de feu. (…) Si vous êtes branchées blogosphère, Facebook, Twitter, vous serez en terrain connu. Si vous ne comprenez pas à quoi servent ces réseaux sociaux, vous allez en découvrir la solidarité et l’efficacité…
Hypathie Blog
• Comme pour son premier roman, Les Loups du remords, l’auteur excelle dans la construction en puzzle. Les faits sont distillés progressivement avec l’habileté démoniaque propre aux auteurs de page turner. Le lecteur ne peut que se laisser emporter, à une vitesse effrénée, dans ce récit peuplé de personnages à fort tempérament, vrais héros ou vrais méchants, odieux à souhait. Portée par son sujet, Marie-Hélène Branciard, libère son écriture et invente un style 2.0, version littéraire hyper créative, parfois poétique même, des échanges sur réseaux sociaux.
Cineartscene
• Le deuxième roman de Marie-Hélène Branciard propose une bonne intrigue policière, située en grande partie, et donc assez inhabituellement, dans les milieux LGBT, sur le web et les réseaux sociaux, avec une partie « IRL » plus classique (…) Mixant habilement un récit de vengeance à long terme et une saisissante plongée dans l’horreur du viol (…) Marie-Hélène Branciard nous offre une intéressante incursion policière et – oui – sentimentale dans une marge électronique ou physique où le droit reste encore et toujours à réclamer, où la vengeance se révèle un fantasme potentiellement efficace, où la lutte contre la peur, au moins autant que contre les préjugés, reste bien un enjeu essentiel.
Librairie Charybde